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Subject:
Entry Island- Please translate
Category: Arts and Entertainment Asked by: brudenell-ga List Price: $100.01 |
Posted:
03 Oct 2006 06:32 PDT
Expires: 02 Nov 2006 05:32 PST Question ID: 770420 |
Please translate this 2000 +/- word document by author David Weale from English to French (Canadian). http://tinyurl.com/zhpc7 Thank you | |
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Re: Entry Island- Please translate
Answered By: guillermo-ga on 31 Oct 2006 23:54 PST |
Dear Brudenell, With the help of a teacher of French, who learned the language with her French parents, I prepared this translation that hopefully will meet your needs. Please let me know if you need further assistance. Best regards, Guillermo The translation: Entrée Pendant les années où j'enseignait histoire à l'Université de l'île du Prince Edouard, je découvrit que chaque nouveau cours arrivait avec des surprises, et une année, à la moitié des années 1980, une femme de moyen âge c'était inscrite dans un cours d'été que je donnais à ce moment et changeât ma vie. Ç'a pris beaucoup de temps pour que son influence se manifeste, mais ce qui est au delà de toute dispute c'est que mon expérience aujourd'hui serait très différente si elle n'avait jamais apparue. Etrangement, ce n'était pas ce qui elle était ce qui a eu un tel effet sur moi, ni n'importe quel chose q'elle avait dit; c'était à cause d'où elle venait - un lieu dont il était complètement inconnu pour moi. Je n'en avais jamais entendu parler, mais quand elle le décrivait, ça m'envoûtait, et j'ai pris la décision d'y aller un jour. Et je l'ais fait. La femme, Olive Josey, elle est déjà morte, et vingt ans se sont passes dès qu'on c'étaient rencontré pour la première fois, mais pendant que j'écris ces mots-là je suis à l'île d'Entrée, assis dans la maison même où, une fois, elle habitait, et que aujourd'hui ça appartient à son fils. C'est endroit, une fois inconnu, est maintenant un coin que je connais intimement, et que j'aime tendrement, comme le soleil aime la lune, car j'ai découvert ici beaucoup de pensées sur qui je suis. L'île d'Entrée est un tout-petit, abrupte paysage au milieu du Golfe de St. Laurent qui point hors de l'océan comme le visage d'un phoque, et c'est distinct de tous les autres places que j'ai jamais vue, bien si elle me fait penser aux terrains des quelques endroits d'Écosse et Irlande. Elle est compagnonne avec les autres Îles Madeleines, qui sont toutes cordonnées ensemble sur un fil de sable. Sauf Entrée. Même la longue atteinte du Croche Sableux, un bras mendiant qui s'étire de la plus proche île de Havre Aubert, n'a pas encore suffit pour l'attirer hors de sa bien aimée isolation. C'est tellement petite et écartée, et aussi improbablement belle, que lorsque j'y arrivé pour la première fois, pour moi ça n'avait pas du tout l'air d'un endroit, mais d'une révélation de quelque chose souhaitée, et, soudainement, découverte. C'est le troisième été que je suis passé ici, et j'ai devenu chaque année plus convaincu de que, de quelque façon, j'ai tombé sur une des Îles Bénites dont on parle pensivement dans les histoires de mes ancêtres celtiques. Moi, comme tout le monde, je souvent parle de chez moi, l'Île du Prince Edouard, comme d'un endroit petit, mais à coté d'Entrée, elle est continentale. Il y a une rue étroite ici, couverte de gravier claquetant, qui commence à la rade et fait son chemin à travers des champs peints, jusqu'une grappe de maisons et édifices divers que les locaux appellent "Haut de la rue", avec d'autres rues latérales qui conduisent vers d'autres petites grappes semblables, q'on appelent "Hors de la rue", "Bas de la rue" et "Arrière sur la colline" et "Point de la Mouette". La part la plus basse et plat de l'île, qui se projet dans les vagues comme la proue d'un navire, viré en rond dans un sud-ouest galopant. Presque toutes les familles ont une ou deux voitures, même si il est impossible de conduire pendant plus d'une minute ou deux sans virer en rond et retourner là-bas d'où on est parti. Des ma petite maison en "Haut de la Colline" il n'y a pas un coin dans toute l'île où je ne pourrais y aller à pied en vingt minutes, et comment Entrée est une grande pairie, n'interrompue que par un pair de taches de sapins giflés, et par l'occasionnel sortie d'un bout de roche de dessous de la terre, les yeux peuvent parcourir librement. Debout sur le haut de la "Grande Colline" il est possible de embrasser l'Île entière avec un tour de la tête et un long regard, et quand je contemple le paysage a travers des fenêtres irrésistibles de cette petite maison, je peu voir l'océan en trois directions. En faite, je crois que chez Mickey, sur la Rue de l'Ecole, c'est la seule maison dans toute l'île que n'offre pas une vision spectaculaire de l'océan. Les visiteurs au sac à dos et des cameras arrivent ici en milliers chaque été. Ils débarquent à la rade et font leur chemin dans un courant - comme allant sur un convoyeur à bande - à travers d'île, et puis montant les presque six cents pied vers le haut de la Grande Colline, la plus haute élévation de l'archipel, où il y a un point de vu il avec une complète vision à 360 grades du Golfe. Tant q'ils descendent, et font leur chemin de retour vers la rade soignée, c'est évident - même des ma fenêtre - que quelques uns ont restés enchantés, puisqu'ils descendent comme Moïses du Sinaï, avec les visages qui brillent. Quelques peu restent pour la nuit, étant pour moi un grand allègement, car il y à une nourrissante quiétude de fin du jour en Entrée qui se pose doucement sur l'île entière en bénédiction pacifique, n'interrompue que par l'occasionnel son d'un engin, ou un chien qui aboie. Puis, le soir, une fois que le soleil s'est enterré dans océan au delà des dunes du Cap aux Meules, les lumières des autres Îles Madeleines procurent un cadre éclatant à ma vision - un collier de lumière sur le cou de l'obscurité. L'Île d'Entrée est une des grandes découvertes de ma vie. Je suis venu ici pour écrire, dans un endroit avec peu des distractions, mais je n'anticipais pas la beauté attirante du lieu, ou que j'aurait être tenté de passer autant de temps en me promenant d'un coté de colline aux suivant, comme un ruminant cherchant l'aliment. Il n'y a pas un coin de cet extravagant petit endroit que je n'aie pas exploré, ni un jour que je ne m'aie pas aventuré plus loin avec mon bâton à marcher, pour prendre plaisir, encore et encore, des longues, détendues vues du bord du ciel à travers de l'eau; ou du ton parfait des tout-petits clochettes, qui sonnent sans son dans les longues herbes; ou des papillons orange brûlé qui sautent soudainement dans le vent jouant, et paraient, comme les gens, q'ils tous doivent partir, sûrement, en volant. Beaucoup des gents qui restent en Entrée jurent q'ils ne partiront jamais, mais en récents années beaucoup l'on fait, et la grande, muette tristesse de l'endroit c'est le gros nombre de ceux q'on allait alliers et qui ne sont jamais retournés que pour y visiter. Les résidents, tous anglophones, la plupart descendants d'anglais et d'écossais, ont était ici depuis le début du dix neuvième siècle, et ceux qui ont vécu les vieux temps dans l'île se souvient de quand ils étaient plus de 300, et que l'école était pleine d'étudiants, mais aujourd'hui le nombre de résidents permanents a descendu jusqu'a moins de 100, et la plupart des sièges à école sont vacant. Quand je suis en Entrée je célèbre avec les résidents la beauté tellement peu commun de leur pays, mais il y a une vulnérabilité à leur expérience que je ne peut pas partager. Ils se sont attachés fortement à leur tout-petit patrie pour presque deux cents années, mais maintenant, ils se évanouissent. Ça se sent presque inadéquat de louer aussi effusivement un endroit où leurs résidents humains sont en lutte pour survivre, mais louer c'est ce que je dois faire, car j'ai témoigné ici beaucoup de choses trop merveilleuses que je garde pour moi : les ombres des nuages, en se mouvant lentement à travers du coteau de la Colline Cerise, comme un esprit aimant qui vient rencontrer son amoureuse; les pélicans au soir, pendus dans l'air sur le récif ouest, puis se laissant tomber comme des désires dans le soleil liquide; ou des groups de courlieus disturbés qui descendent en criant vers une des petits vallée, puis s'effacent entièrement dans le herbeux coté de la colline; ou les timides et adorables fleurs de lys, se balançant gentiment entre les long joncs dans leurs écharpes pourpre; ou les entretiens d'adieu des petits pierres du rivage qui claquent comme des bijoux, tandis que les vagues usées retournent en glissant vers la mer de fer; ou la chute du ruisseau Kitty où, d'après la légende, un homme est arrivé avec ça fille malade, et puis il l'enterrât là-bas, parce que c'était tellement agréable, et un lieu qu'il savait qu'elle l'aurait aimé. Tout ça, et encore plus, a était une distraction et une consommation. Les caps d'Entrée, de alabastre et grés, ils sont hauts et escarpés, tombant dans certains endroits plus de 125 pieds droitement dans la mer bougeant. En fort contraste, les colline sont arrondisses et sensuels, et moi je vois partout des épaules et des mollet, et les bustes et les cuisses des déesses qui sont venues ici pour dormir en bas de une épaisse, verte couette, tendue attentivement à travers du paysage entier. Les plus hautes élévations sont du coté est de l'île, où le bétail et quelques chevaux déambulent librement tout l'été en pâture commun. Souvent ils montent jusqu'au sommet des collines les plus hautes, et la vue de leurs profile contre le ciel immaculé, c'est quelque chose que je n'oublierais jamais. Il n'y a aucune raison pratique que je connaisse pour qu'ils doivent monter là haut si souvent, et l'herbe est plus abondante florissant dans les prairies plus basses, mais ils y vont, tous les jours, et souvent ils restent pour des heures à cette place, leurs yeux fixés à travers de l'eau. Beaucoup des tems j'ai monté les collines, rien que pour y être avec eux, et bien si des fois je les vois comme à des sentinelles, plus souvent je choisis de les voir comme contemplatives. Presque toute la surface de Entrés est couverte avec des herbes sauvages et des trèfles, mélangés avec des fleurs sauvages, et des fraises sauvages, inclue l'abondante herbe doux - ou herbe Indienne comme l'appèlent les gents du pays - n'interrompu que par des taches de patates sur le sol du vallée, et des colonies de joncs qui ont réclamés les trous humides. Une petit population de renards déambules derrière de l'île, et se nourrissent largement des souris résidents, mais il n'y as pas d'autres animaux ou reptiles - pas de serpents, pas de lapins, pas de mouffettes - et très peu des moustiques ou mouches noires. Quand vous venez à Entrée vous pouvez laisser votre répulsif chez vous. Honnêtement ! Les bestioles mordantes à l'île du Prince Edouard me considèrent repas choisi, tandis que je me suis promené ici trois étés en shorts et en manche, et j'ai souvent récoltait des fraises sauvages jusqu'au crépuscule, sans être savourait qu'une fois pour une créature volante. La première semaine que je suis arrivé ici j'ai demandé à Wall, mon voisin le plus proche, comment avait-elle gagné son nom, Entrée. Il m'a informé que était à cause de son emplacement, à l'entrée des autres Îles Madeleines, mais après avoir vécu ici pour trois étés, le nom est venu signifier quelque chose de plus pour moi. Je suis venu ici pour écrire sur l'importance de ce que, dans ma vie, j'appelle portaux, qui sont des expériences d'entrée dans des différent mondes de compréhension, où la vie n'est pas enfermé par la sagesse conventionnel, ou la peur de faillir, et un jour c'est levé sur moi - comme le soleil montant sur la Colline Wash Pond - comment était merveilleusement approprié que j'aille choisi en endroit appelé Entré, où j'ai découvert autant ouvertures la joie, et le doux oublie. J'avait écrit des années avant que j'arrive en Entrée que l'attirance universel des îles - particulièrement les petits îles - c'est qu'elle reflètent les parties à nous que l'on répriment et que l'on cassent, et que, consciemment ou inconsciemment, nous y allons dans l'espoir d'y retrouver l'enchantement et l'exubérance dont on a perdu dans nos vies. Avant Entrée tout ça était largement théorique. Pas maintenant. Dans la mythologie on rêvait beaucoup avec les anciennes "Îles Bénites", et normalement en relation avec la vie après de la morte, mais celle-la n'est pas mon expérience ici. Ici, tant mes espoirs pour ce que viendra que mes regrets pour les ennuis du passé, s'évanouissent, et le pressent s'ouvre comme une poitrine. Comment pourrait ça être autrement dans un endroit où les plages et les chemins son jonchés avec des bijoux; où les paquets de "devoir" et "devoir pas" s'en vont en criant dans la vallée pour disparaître entre l'herbe; où des oiseaux marin chantent tout le jour les chansons des immortelles; et où le bétail sacré reste en contentement sur les collines éternelles. Juillet 17, 2006 |
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Subject:
Re: Entry Island- Please translate
From: tamzo22-ga on 17 Oct 2006 08:13 PDT |
Entrée Pendant les années j'enseignais l'histoire à l'université d'île Prince Edouard que j'ai découvert que chaque nouvelle classe est arrivée avec des surprises, et un an, au milieu des années 80, une femme entre deux âges inscrite dans un cours d'été j'offrais et ai changé ma vie. Elle a pris un à long terme pour que son influence se manifeste, mais ce qui est hors de controverse est que mon expérience aujourd'hui serait très différente si elle n'avait pas révélé. Curieusement, il n'était pas qui elle était qu'eu un tel effet sur moi, ou quelque chose qu'elle a dit ; il était en raison d'où elle est venue - d'un endroit qui était complètement inconnu à moi alors. J'avais jamais même entendu parler de lui, mais quand elle l'a décrit j'ai été fasciné, et résolu que d'une journée j'irais là. Et j'ai. La femme, Josey olive, est depuis morte, et vingt ans ont passé puisque nous d'abord réuni, mais car moi écrivons ces mots que je suis sur l'île d'entrée, assis dans la maison même dans laquelle elle a par le passé vécu, et celui aujourd'hui est possédé par son fils. Cet endroit, une fois que peu familier, est maintenant une tache que je connais intimement, et l'amour chèrement, la manière le soleil aime la lune, parce que j'ai découvert ici beaucoup de réflexions de qui je suis. L'île d'entrée est un paysage minuscule et brusque au milieu du Golfe de la rue Lawrence qui pousse vers le haut hors de l'océan comme le visage d'un joint, et est à la différence de n'importe quel autre endroit que j'ai jamais vu, bien qu'il me rappelle le terrain dans les régions de l'Ecosse et de l'Irlande. C'est compagnon aux autres îles de Madeleine, mais elles toutes sont ficelées ensemble sur une corde du sable. Pas aussi entrée. Même la longue extension du crochet arénacé, un bras suppliant qui s'étend dehors de l'île la plus proche de Le Havre Aubert, n'a pas encore été assez pour l'attirer de son separateness aimé. C'est si petit et distant, et tellement implausibly beau, que quand je suis arrivé la première fois c'a semblé pas un endroit du tout, mais la révélation de quelque chose aspiré à, et, d'un soudain, découvert. C'est la troisième année où j'ai summered ici, et je deviens tous les ans davantage m'ai convaincu ai de façon ou d'autre lavé à terre sur une « des îles bénies » dont sont parlés tellement wistfully dans les histoires de mon celtique s'abstient. Comme chacun autrement je décris souvent ma maison, île Prince Edouard, comme petit endroit, mais comparé à l'entrée qu'il est continental. Il y a une route étroite ici, couvert de cliquer le gravier qui commence au quai et aux wends sa voie par les champs peints au centre de l'île, à un faisceau des maisons et des annexes aux lesquelles les gens du pays se réfèrent comme « vers le haut de la route », avec des côté-routes menant aux faisceaux semblables et petits appelés « dehors la route, » « en bas de la route, » et « arrière sur la colline, » et au « point de mouette, » la plus basse et la plus plate partie de l'île, qui saillir dehors dans les vagues comme l'arc d'un navire, transportée en rond dans un sou-wester de sautillement. Presque chaque famille a un véhicule ou deux, quoiqu'il soit impossible à conduire pour plus qu'une minute ou deux sans rotation autour de et de titre dos d'où vous êtes venus. De ma petite maison dans « vers le haut de la colline » il n'y a aucune tache sur l'île entière que je ne pourrais pas atteindre à pied en vingt minutes, et parce que l'entrée est un grand pré, interrompu seulement par un couple des pièces rapportées des sapins secoués, et affleurer occasionnel de la roche posée, les yeux peut s'étendre librement. Se tenant sur le dessus de la « grande colline que » il est possible de rentrer l'île entière avec un tour de la tête et d'un regard rapide, et quand je regarde dehors les fenêtres irrésistibles de cette petite maison je peut voir l'océan dans trois directions. En effet, je crois la maison de Mickey, sur la route d'école, est la seule maison sur l'île entière qui n'offre pas une vue spectaculaire d'océan. Les visiteurs avec des baluchons et des appareils-photo arrivent ici par les milliers chaque été. Ils débarquent au quai et font leur manière dans un jet -- comme si montant une bande de conveyeur -- à travers l'île, et puis vers le haut des presque six cents pieds jusqu'au dessus de la grande colline, l'altitude la plus élevée dans l'archipel, duquel la position avantageuse il y a de plein 360 degrés Vista du Golfe. Car ils descendent, et wend leur dos de manière vers le port rangé, il est évident -- même de ma fenêtre -- que certains sont devenus enchantés, parce que ils descendre comme Moïse de Sinai, avec leur briller de visages. Peu de séjour pour la nuit, qui est à moi un grand soulagement, parce que là est une consolidation, calme d'extrémité-de-jour sur l'entrée qui arrange doucement au-dessus de l'île entière dans la bénédiction paisible, cassée seulement par le bruit occasionnel d'un moteur, ou d'un écorcement de chien. Puis, la nuit, après que le soleil se soit enterré dans l'océan derrière les dunes du chapeau Meules aux., les lumières des autres îles de Madeleine fournissent une jante de scintillement à ma vision -- un collier de lumière sur la gorge de l'obscurité. L'île d'entrée est l'une des grandes découvertes de ma vie. Je suis venu ici pour écrire, dans un endroit avec peu de distractions, mais ne prévoyais pas la beauté de séduction de l'endroit, ou cela je serais tenté pour passer tellement le temps marchant à pas marqués d'un flanc de coteau au prochain, comme un certain ruminant de forager, frôlant l'amabilité. Il n'y a aucun coin de cet endroit exagéré et petit que je ne l'ai pas exploré, et aucun jour je n'ai pas essayé en avant avec mon bâton de marche d'être pleasured, à plusieurs reprises, par de longues, à vide vues à travers l'eau au bord du ciel ; ou par le lancement parfait des bleu-cloches minuscules, cet anneau sans bruit dans la longue herbe ; ou les papillons brûler-oranges qui prennent naissance soudainement dans le vent espiègle, et semblent, comme le peuple, qu'ils doivent tout sûrement souffler loin. Plusieurs du peuple qui restent allumés voeu d'entrée qu'elles ne laisseront jamais, mais ces dernières années beaucoup ont, et la grande, muette tristesse de l'endroit est le grand nombre ceux qui sont partis et ne sont jamais retournés, excepté peut-être à la visite. Les résidants, tous Anglophones de descente la plupart du temps anglaise et écossaise, ont été ici depuis le 1800s tôt, et les vieux-temporisateurs sur l'île peuvent rappeler quand il y avait plus de de 300 d'entre eux, et l'école éclatait avec des pupilles, mais aujourd'hui le nombre de résidants toutes saisons est descendu à 100 au-dessous de, et la plupart des sièges dans l'école sont vides. Quand je suis sur l'entrée moi se réjouir avec les résidants au-dessus de la beauté rare de leur maison, mais il y a une vulnérabilité dans leur expérience que je pas, et ne peut pas partager. Ils se sont tenus dessus étroitement sur leur patrie minuscule et dramatique pendant presque deux cents années, mais maintenant ils disparaissent. Il se sent presque impropre féliciter tellement expansivement un endroit où les résidants humains luttent pour survivre, mais pour le féliciter que je dois, parce que beaucoup de choses j'ai étées témoin ici sont trop merveilleuses pour garder à me : comme la nuage-ombre, se déplacer lentement à travers la pente du sud de la colline de cerise, comme un amoureux d'esprit venant au-dessus de elle betrothed ; ou gannets de soirée, accrochant dans le ciel au-dessus du récif occidental, se laissant tomber alors comme des souhaits dans le soleil liquide ; ou les bandes dérangées de courlis cendrés bruns qui vont hurler en bas d'une des petites vallées, disparaissent alors entièrement dans un flanc de coteau herbeux ; ou fleurs de lis timide et beau, balançant doucement parmi les longues précipitations dans des leurs écharpes pourpres ; ou le broutement d'adieu des cailloux de rivage qui claquent comme des bijoux pendant que les vagues épuisées glissent de nouveau dans la mer de fer ; ou la dégringolade du ruisseau de Kitty, où, selon la légende, un homme est venu à terre avec une fille mal portante, et où il l'a enterrée, parce qu'il était si plaisant, et un endroit qu'il a connu qu'elle aurait a aimé. Tout ce, et plus, a été une distraction, et une consommation. Les caps d'albâtre et de grès de l'entrée sont grands et fins, laissant tomber dans les endroits plus de 125 pieds de bas droit dans l'océan se précipitant. Les collines, dans le contraste important, sont arrondies et sensuelles, et je vois partout les épaules géantes et mets bas, et les seins et les cuisses des déesses qui sont venues ici pour dormir sous une couverture épaisse et verte, tirés avec le soin à travers le paysage entier. Les plus grands des monticules sont du côté oriental de l'île, où les bétail et quelques chevaux errent librement tout l'été dans le pâturage commun. Ils s'élèvent souvent jusqu'aux dessus mêmes des plus hautes collines, et la vue de elles, dans le profil contre le ciel frotté, est quelque chose que je n'oublierai jamais. Il y a, dans la mesure où je peux déterminer, aucune raison pratique pour laquelle elles devraient monter là tellement souvent, car l'herbe est plus abondante et abondante dans les prés inférieurs, mais aller elles, journalier, et souvent configuration pendant des heures dans un endroit, regardant fixement dehors à travers l'eau. Beaucoup me chronomètrent ont escaladé les collines, pour être juste avec elles, et tandis que je les vois parfois comme sentinelles, plus souvent je choisissent de les regarder comme contemplatives. Presque la surface entière de l'entrée est couverte d'herbes sauvages et de trèfles, mélangés ainsi que des wildflowers, et de baies sauvages, y compris une abondance de doux-herbe aromatique - ou herbe indienne comme les résidants l'appellent - interrompue seulement par l'effet de chinage de petites pièces rapportées des pommes de terre sur les planchers de vallée, et des colonies des bullrushes qui ont réclamé les cavités humides. Une petite population des renards erre le derrière de l'île, et alimentation en grande partie sur la population résidente de souris, mais il n'y a aucun autre animal ou reptile sauvage - aucuns serpents, lapins, ou mouffettes - et à peine aucuns moustiques ou mouche de noir. Quand vous venez à l'entrée vous pouvez laisser votre produit répulsif à la maison. Honnêtement ! Les bogues acérés d'île Prince Edouard me considèrent prix bien choisi, pourtant j'ai erré ici pendant trois étés dans le pantalon et des douilles courts, et ai souvent sélectionné les fraisiers communs jusqu'au crépuscule dans la longue herbe, mais ai été goûté seulement une fois par une créature de vol. La première semaine où je suis arrivée ici j'a demandé le mur, mon voisin plus proche, comment l'entrée a obtenu son nom. Il m'a informé que qu'elle était en raison de son endroit, à l'entrée aux autres îles de Madeleine, mais ensuite après avoir vécu ici pendant trois étés, le nom pour moi est venu pour signifier quelque chose davantage. Je suis venu ici pour écrire au sujet de l'importance dans ma vie de ce que j'appelle les portails, qui sont des expériences de l'entrée à un monde différent de conscience, où la vie n'est pas ourlée dedans par la sagesse conventionnelle, ou de la crainte de l'échec, et d'un jour où elle a né sur moi -- comme le soleil montant au-dessus de la colline d'étang de lavage -- comment merveilleusement approprié c'était que j'avais choisi une entrée appelée d'endroit, où j'ai découvert tant d'ouvertures à la joie, et manque de mémoire doux. J'avais écrit des années avant que je sois arrivé sur l'entrée cette l'attrait universel des îles -- en particulier petites îles -- est ce qu'elles reflètent réprimée et dédoublent-au loin des parties de nous-mêmes, et cela, consciemment ou unconsciously, nous allons espérer là contacter le sortilège et l'exubérance qui a manquer allé en nos vies. Avant l'entrée qui était toute en grande partie théorique. Mais plus. En mythologie des ancients « les îles bénies » ont été beaucoup rêvées de, et habituellement associées à la vie après la mort, mais ce n'est pas mon expérience ici. Ici, mon espoir pour ce qui est de venir, avec tout le regret pour blundering cela a été, se fane loin, et le présent s'ouvrent comme un coffre. Comment pourrait il ne pas être ainsi dans un endroit où les plages et les chaussées sont répandues avec des gemmes ; là où les bandes de nécessités de `' et le `doivent-nots' aller hurler en bas d'une vallée et disparaître dans le long engazonner ; là où les oiseaux de rivage chantent toute la journée les chansons des immortals ; et où les bétail saints se reposent dans le contentement sur les collines éternelles. 17/6 juillet |
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Re: Entry Island- Please translate
From: tamzo22-ga on 17 Oct 2006 12:42 PDT |
With all due respect Guillermo, my uncle is a native French speaker- he moved from South Africa to Marseille 20 years ago..I asked him to help me translate it very quickly..hence the mistakes. |
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Re: Entry Island- Please translate
From: guillermo-ga on 18 Oct 2006 08:34 PDT |
Hello tamzo22-ga, Certainly, the mistakes may very well be due to a too fast work. What made me think of an automated translation were sentences like this one, as an example: "La femme, Josey olive, est depuis morte, et vingt ans ont passé puisque nous d'abord réuni, mais car moi écrivons ces mots que je suis sur l'île d'entrée, assis dans la maison même dans laquelle elle a par le passé vécu, et celui aujourd'hui est possédé par son fils." (Original is: "The woman, Olive Josey, has since died, and twenty years have passed since we first met, but as I write these words I am on Entry Island, seated in the very house in which she once lived, and that today is owned by her son.") The name, Olive Josey, has been reversed -- and the word "olive" written in lower case -- as if it was taken as an adjective referring to Josey (olive as a color). "Since" is translated as "puisque", what would be OK if it was the causal sense of since, but here the sense is temporal, so it is incorrect -- an adequate translation would have been "depuis que". The phrase "as I write" has the sense of "while I write", so the word "car" has no place in a translation for "as" here -- it should have been "pendant que". Also, the person who writes is the narrator -- first person singular -- but the verb is in first person plural (écrivons) as if it referred to the previous "nous" (we), and the pronoun "moi" should be "je", that altogether with the verb should be "j'ecris" (I write). French speakers would not say that they are "sure l'ile" but "dans l'ile". The word "maison" (house) is feminine in French, and "celui" (referring to "maison") is masculine. In brief, my choice for the same sentence would be: "La femme, Olive Josey, est déjà morte, et vingt ans se sont passés depuis que nous nous avion rencontré pour la première fois, mais pendant que j'écris ces mots-là je suis dans l'île d'Entrée, assis dan la maison même ou elle avait vécu, et que maintenant appartienne a son fils." As a matter of fact, the whole text is plenty of sentences like the one I used as an example. Also, many words were just left in their original English form -- since automated translators do so when they don't find the words in their dictionary, that led me to that assumption too -- for example: separateness, implausibly, summered, wistfully, among others. So, IMHO, the translation you posted would work for a French speaking person just to figure out how the original English text would be, approximately -- but it wouldn't work as an actual translation if that is Brudenell's intention. Sincerely, Guillermo |
Subject:
Re: Entry Island- Please translate
From: caribe97-ga on 18 Oct 2006 23:29 PDT |
tell me if you need help, i'm french |
Subject:
Re: Entry Island- Please translate
From: theboufin-ga on 22 Oct 2006 13:57 PDT |
Entrée Pendant les années j'enseignais l'histoire à l'université d'île Prince Edouard que j'ai découvert que chaque nouvelle classe est arrivée avec des surprises, et un an, au milieu des années 80, une femme entre deux âges inscrite dans un cours d'été j'offrais et ai changé ma vie. Elle a pris un à long terme pour que son influence se manifeste, mais ce qui est hors de controverse est que mon expérience aujourd'hui serait très différente si elle n'avait pas révélé. Curieusement, il n'était pas qui elle était qu'eu un tel effet sur moi, ou quelque chose qu'elle a dit ; il était en raison d'où elle est venue - d'un endroit qui était complètement inconnu à moi alors. J'avais jamais même entendu parler de lui, mais quand elle l'a décrit j'ai été fasciné, et résolu que d'une journée j'irais là. Et j'ai. La femme, Josey olive, est depuis morte, et vingt ans ont passé depuis que nous nous sommes réunis la première fois, mais comme j'écris ces mots que je suis sur l'île d'entrée, assis dans la maison même dans laquelle elle a par le passé vécu, et celle aujourd'hui est possédé par son fils. Cet endroit, une fois que peu familier, est maintenant une tache que je connais intimement, et l'amour chèrement, la manière le soleil aime la lune, parce que j'ai découvert ici beaucoup de réflexions de qui je suis. L'île d'entrée est un paysage minuscule et brusque au milieu du Golfe de la rue Lawrence qui pousse vers le haut hors de l'océan comme le visage d'un joint, et est à la différence de n'importe quel autre endroit que j'ai jamais vu, bien qu'il me rappelle le terrain dans les régions de l'Ecosse et de l'Irlande. C'est compagnon aux autres îles de Madeleine, mais elles toutes sont ficelées ensemble sur une corde du sable. Pas aussi entrée. Même la longue extension du crochet arénacé, un bras suppliant qui s'étend dehors de l'île la plus proche de Le Havre Aubert, n'a pas encore été assez pour l'attirer de son separateness aimé. Elle est si petite et distante, et tellement implausibly belle, que quand je suis arrivé la première fois c'ait semblé pas un endroit du tout, mais la révélation de quelque chose a aspiré à, et, d'un soudain, a découvert. C'est la troisième année où j'ai summered ici, et je deviens tous les ans davantage m'ai convaincu ai de façon ou d'autre lavé à terre sur une « des îles bénies » dont sont parlés tellement wistfully dans les histoires de mon celtique s'abstient. Comme chacun autrement je décris souvent ma maison, île Prince Edouard, comme petit endroit, mais comparé à l'entrée qu'il est continental. Il y a une route étroite ici, couvert de cliquer le gravier qui commence au quai et aux wends sa voie par les champs peints au centre de l'île, à un faisceau des maisons et des annexes aux lesquelles les gens du pays se réfèrent comme « vers le haut de la route », avec des côté-routes menant aux faisceaux semblables et petits appelés « dehors la route, » « en bas de la route, » et « arrière sur la colline, » et au « point de mouette, » la plus basse et la plus plate partie de l'île, qui saillir dehors dans les vagues comme l'arc d'un navire, transportée en rond dans un sou-wester de sautillement. Presque chaque famille a un véhicule ou deux, quoiqu'il soit impossible à conduire pour plus qu'une minute ou deux sans tourner autour et se diriger en arrière d'où vous êtes venus. De ma petite maison dans « vers le haut de la colline » il n'y a aucune tache sur l'île entière que je ne pourrais pas atteindre à pied en vingt minutes, et parce que l'entrée est un grand pré, interrompu seulement par un couple des pièces rapportées des sapins secoués, et affleurer occasionnel de la roche posée, les yeux peut s'étendre librement. Se tenant sur le dessus de la « grande colline que » il est possible de rentrer l'île entière avec un tour de la tête et d'un regard rapide, et quand je regarde dehors les fenêtres irrésistibles de cette petite maison je peut voir l'océan dans trois directions. En effet, je crois la maison de Mickey, sur la route d'école, est la seule maison sur l'île entière qui n'offre pas une vue spectaculaire d'océan. Les visiteurs avec des baluchons et des appareils-photo arrivent ici par les milliers chaque été. Ils débarquent au quai et font leur manière dans un jet -- comme si montant une bande de conveyeur -- à travers l'île, et puis vers le haut des presque six cents pieds jusqu'au dessus de la grande colline, l'altitude la plus élevée dans l'archipel, duquel la position avantageuse il y a de plein 360 degrés Vista du Golfe. Car ils descendent, et wend leur dos de manière vers le port rangé, il est évident -- même de ma fenêtre -- que certains sont devenus enchantés, parce que ils descendre comme Moïse de Sinai, avec leur briller de visages. Peu de séjour pour la nuit, qui est à moi un grand soulagement, parce que là est une consolidation, calme d'extrémité-de-jour sur l'entrée qui arrange doucement au-dessus de l'île entière dans la bénédiction paisible, cassée seulement par le bruit occasionnel d'un moteur, ou d'un écorcement de chien. Puis, la nuit, après que le soleil se soit enterré dans l'océan derrière les dunes du chapeau Meules aux., les lumières des autres îles de Madeleine fournissent une jante de scintillement à ma vision -- un collier de lumière sur la gorge de l'obscurité. L'île d'entrée est l'une des grandes découvertes de ma vie. Je suis venu ici pour écrire, dans un endroit avec peu de distractions, mais ne prévoyais pas la beauté de séduction de l'endroit, ou cela je serais tenté pour passer tellement le temps marchant à pas marqués d'un flanc de coteau au prochain, comme un certain ruminant de forager, frôlant l'amabilité. Il n'y a aucun coin de cet endroit exagéré et petit que je ne l'ai pas exploré, et aucun jour je n'ai pas essayé en avant avec mon bâton de marche d'être pleasured, à plusieurs reprises, par de longues, à vide vues à travers l'eau au bord du ciel ; ou par le lancement parfait des bleu-cloches minuscules, cet anneau sans bruit dans la longue herbe ; ou les papillons brûler-oranges qui prennent naissance soudainement dans le vent espiègle, et semblent, comme le peuple, qu'ils doivent tout sûrement souffler loin. Plusieurs du peuple qui restent allumés voeu d'entrée qu'elles ne laisseront jamais, mais ces dernières années beaucoup ont, et la grande, muette tristesse de l'endroit est le grand nombre ceux qui sont partis et ne sont jamais retournés, excepté peut-être à la visite. Les résidants, tous Anglophones de descente la plupart du temps anglaise et écossaise, ont été ici depuis le 1800s tôt, et les vieux-temporisateurs sur l'île peuvent rappeler quand il y avait plus de de 300 d'entre eux, et l'école éclatait avec des pupilles, mais aujourd'hui le nombre de résidants toutes saisons est descendu à 100 au-dessous de, et la plupart des sièges dans l'école sont vides. Quand je suis sur l'entrée moi se réjouir avec les résidants au-dessus de la beauté rare de leur maison, mais il y a une vulnérabilité dans leur expérience que je pas, et ne peut pas partager. Ils se sont tenus dessus étroitement sur leur patrie minuscule et dramatique pendant presque deux cents années, mais maintenant ils disparaissent. Elle se sent presque impropre féliciter tellement expansivement un endroit où les résidants humains luttent pour survivre, mais pour le féliciter que je dois, parce que beaucoup de choses j'ai étées témoin ici sont trop merveilleuses pour garder à me : comme la nuage-ombre, se déplacer lentement à travers la pente du sud de la colline de cerise, comme un amoureux d'esprit venant au-dessus de elle betrothed ; ou gannets de soirée, accrochant dans le ciel au-dessus du récif occidental, se laissant tomber alors comme des souhaits dans le soleil liquide ; ou les bandes dérangées de courlis cendrés bruns qui vont hurler en bas d'une des petites vallées, disparaissent alors entièrement dans un flanc de coteau herbeux ; ou fleurs de lis timide et beau, balançant doucement parmi les longues précipitations dans des leurs écharpes pourpres ; ou le broutement d'adieu des cailloux de rivage qui claquent comme des bijoux pendant que les vagues épuisées glissent de nouveau dans la mer de fer ; ou la dégringolade du ruisseau de Kitty, où, selon la légende, un homme est venu à terre avec une fille mal portante, et où il l'a enterrée, parce qu'il était si plaisant, et un endroit qu'il a connu qu'elle aurait a aimé. Tout ce, et plus, a été une distraction, et une consommation. Les caps d'albâtre et de grès de l'entrée sont grands et fins, laissant tomber dans les endroits plus de 125 pieds de bas droit dans l'océan se précipitant. Les collines, dans le contraste important, sont arrondies et sensuelles, et je vois partout les épaules géantes et mets bas, et les seins et les cuisses des déesses qui sont venues ici pour dormir sous une couverture épaisse et verte, tirés avec le soin à travers le paysage entier. Les plus grands des monticules sont du côté oriental de l'île, où les bétail et quelques chevaux errent librement tout l'été dans le pâturage commun. Ils s'élèvent souvent jusqu'aux dessus mêmes des plus hautes collines, et la vue de elles, dans le profil contre le ciel frotté, est quelque chose que je n'oublierai jamais. Il y a, dans la mesure où je peux déterminer, aucune raison pratique pour laquelle elles devraient monter là tellement souvent, car l'herbe est plus abondante et abondante dans les prés inférieurs, mais aller elles, journalier, et souvent configuration pendant des heures dans un endroit, regardant fixement dehors à travers l'eau. Beaucoup me chronomètrent ont escaladé les collines, pour être juste avec elles, et tandis que je les vois parfois comme sentinelles, plus souvent je choisissent de les regarder comme contemplatives. Presque la surface entière de l'entrée est couverte d'herbes sauvages et de trèfles, mélangés ainsi que des wildflowers, et de baies sauvages, y compris une abondance de doux-herbe aromatique - ou herbe indienne comme les résidants l'appellent - interrompue seulement par l'effet de chinage de petites pièces rapportées des pommes de terre sur les planchers de vallée, et des colonies des bullrushes qui ont réclamé les cavités humides. Une petite population des renards erre le derrière de l'île, et alimentation en grande partie sur la population résidente de souris, mais il n'y a aucun autre animal ou reptile sauvage - aucuns serpents, lapins, ou mouffettes - et à peine aucuns moustiques ou mouche de noir. Quand vous venez à l'entrée vous pouvez laisser votre produit répulsif à la maison. Honnêtement ! Les bogues acérés d'île Prince Edouard me considèrent prix bien choisi, pourtant j'ai erré ici pendant trois étés dans le pantalon et des douilles courts, et ai souvent sélectionné les fraisiers communs jusqu'au crépuscule dans la longue herbe, mais ai été goûté seulement une fois par une créature de vol. La première semaine où je suis arrivée ici j'a demandé le mur, mon voisin plus proche, comment l'entrée a obtenu son nom. Il m'a informé que qu'elle était en raison de son endroit, à l'entrée aux autres îles de Madeleine, mais ensuite après avoir vécu ici pendant trois étés, le nom pour moi est venu pour signifier quelque chose davantage. Je suis venu ici pour écrire au sujet de l'importance dans ma vie de ce que j'appelle les portails, qui sont des expériences de l'entrée à un monde différent de conscience, où la vie n'est pas ourlée dedans par la sagesse conventionnelle, ou de la crainte de l'échec, et d'un jour où elle a né sur moi -- comme le soleil montant au-dessus de la colline d'étang de lavage -- comment merveilleusement approprié c'était que j'avais choisi une entrée appelée d'endroit, où j'ai découvert tant d'ouvertures à la joie, et manque de mémoire doux. J'avais écrit des années avant que je sois arrivé sur l'entrée cette l'attrait universel des îles -- en particulier petites îles -- est ce qu'elles reflètent réprimée et dédoublent-au loin des parties de nous-mêmes, et cela, consciemment ou unconsciously, nous allons espérer là contacter le sortilège et l'exubérance qui a manquer allé en nos vies. Avant l'entrée qui était toute en grande partie théorique. Mais plus. En mythologie des ancients « les îles bénies » ont été beaucoup rêvées de, et habituellement associées à la vie après la mort, mais ce n'est pas mon expérience ici. Ici, mon espoir pour ce qui est de venir, avec tout le regret pour blundering cela a été, se fane loin, et le présent s'ouvrent comme un coffre. Comment pourrait il ne pas être ainsi dans un endroit où les plages et les chaussées sont répandues avec des gemmes ; là où les bandes de nécessités de `' et le `doivent-nots' aller hurler en bas d'une vallée et disparaître dans le long engazonner ; là où les oiseaux de rivage chantent toute la journée les chansons des immortals ; et où les bétail saints se reposent dans le contentement sur les collines éternelles. July17/06 |
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