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Q: Entry Island- Please translate ( Answered,   5 Comments )
Question  
Subject: Entry Island- Please translate
Category: Arts and Entertainment
Asked by: brudenell-ga
List Price: $100.01
Posted: 03 Oct 2006 06:32 PDT
Expires: 02 Nov 2006 05:32 PST
Question ID: 770420
Please translate this 2000 +/- word document by author David Weale
from English to French (Canadian).

http://tinyurl.com/zhpc7

Thank you

Clarification of Question by brudenell-ga on 04 Oct 2006 05:49 PDT
The translation does not necessarily have to be written in the French
Canadian style of writing.

Request for Question Clarification by guillermo-ga on 17 Oct 2006 11:40 PDT
Hello Brudenell,

Nice to meet you again -- a couple of years ago I had a great time
answering one of your questions (Elders vs. Seniors #3 -
http://answers.google.com/answers/threadview?id=286200 ).

I've carefully analyzed the translation in tamzo22-ga's comment, and I
can tell that it has many mistakes, the type that might be traces of
automated translation. If you want, I can perform a translation from
English to French -- not Canadian (or Québécois) French -- but I must
warn you first that I am not a native French speaker. I am a native
Spanish speaker who lived a few years in France. The quality of my
French writing would be similar to my English writing -- check it out
at the link above or by clicking on my username, and selecting any of
my answers. Please let me know if this will be satisfactory for you,
or else you need a finer translation given the literary nature of the
text. I'm waiting for your thoughts on this. Thank you.

Regards,

Guillermo

Request for Question Clarification by guillermo-ga on 23 Oct 2006 09:45 PDT
Hello again,

Under the user-name "theboufin-ga", the same text already posted by
tamzo22-ga has been posted again -- I can't see the point, but in any
case, this message is to warn that the text is identical (except for
the lack of paragraph separation), thus, it keeps the same mistakes
already referred to.

Guillermo
Answer  
Subject: Re: Entry Island- Please translate
Answered By: guillermo-ga on 31 Oct 2006 23:54 PST
 
Dear Brudenell,

With the help of a teacher of French, who learned the language with
her French parents, I prepared this translation that hopefully will
meet your needs. Please let me know if you need further assistance.

Best regards,

Guillermo



The translation:

Entrée

Pendant les années où j'enseignait histoire à l'Université de l'île du
Prince Edouard, je découvrit que chaque nouveau cours arrivait avec
des surprises, et une année, à la moitié des années 1980, une femme de
moyen âge c'était inscrite dans un cours d'été que je donnais à ce
moment et changeât ma vie. Ç'a pris beaucoup de temps pour que son
influence se manifeste, mais ce qui est au delà de toute dispute c'est
que mon expérience aujourd'hui serait très différente si elle n'avait
jamais apparue. Etrangement, ce n'était pas ce qui elle était ce qui a
eu un tel effet sur moi, ni n'importe quel chose q'elle avait dit;
c'était à cause d'où elle venait - un lieu dont il était complètement
inconnu pour moi. Je n'en avais jamais entendu parler, mais quand elle
le décrivait, ça m'envoûtait, et j'ai pris la décision d'y aller un
jour. Et je l'ais fait. La femme, Olive Josey, elle est déjà morte, et
vingt ans se sont passes dès qu'on c'étaient rencontré pour la
première fois, mais pendant que j'écris ces mots-là je suis à l'île
d'Entrée, assis dans la maison même où, une fois, elle habitait, et
que aujourd'hui ça appartient à son fils. C'est endroit, une fois
inconnu, est maintenant un coin que je connais intimement, et que
j'aime tendrement, comme le soleil aime la lune, car j'ai découvert
ici beaucoup de pensées sur qui je suis.

L'île d'Entrée est un tout-petit, abrupte paysage au milieu du Golfe
de St. Laurent qui point hors de l'océan comme le visage d'un phoque,
et c'est distinct de tous les autres places que j'ai jamais vue, bien
si elle me fait penser aux terrains des quelques endroits d'Écosse et
Irlande. Elle est compagnonne avec les autres Îles Madeleines, qui
sont toutes cordonnées ensemble sur un fil de sable. Sauf Entrée. Même
la longue atteinte du Croche Sableux, un bras mendiant qui s'étire de
la plus proche île de Havre Aubert, n'a pas encore suffit pour
l'attirer hors de sa bien aimée isolation. C'est tellement petite et
écartée, et aussi improbablement belle, que lorsque j'y arrivé pour la
première fois, pour moi ça n'avait pas du tout l'air d'un endroit,
mais d'une révélation de quelque chose souhaitée, et, soudainement,
découverte. C'est le troisième été que je suis passé ici, et j'ai
devenu chaque année plus convaincu de que, de quelque façon, j'ai
tombé sur une des Îles Bénites dont on parle pensivement dans les
histoires de mes ancêtres celtiques.

Moi, comme tout le monde, je souvent parle de chez moi, l'Île du
Prince Edouard, comme d'un endroit petit, mais à coté d'Entrée, elle
est continentale. Il y a une rue étroite ici, couverte de gravier
claquetant, qui commence à la rade et fait son chemin à travers des
champs peints, jusqu'une grappe de maisons et édifices divers que les
locaux appellent "Haut de la rue", avec d'autres rues latérales qui
conduisent vers d'autres petites grappes semblables, q'on appelent
"Hors de la rue", "Bas de la rue" et "Arrière sur la colline" et
"Point de la Mouette". La part la plus basse et plat de l'île, qui se
projet dans les vagues comme la proue d'un navire, viré en rond dans
un sud-ouest galopant. Presque toutes les familles ont une ou deux
voitures, même si il est impossible de conduire pendant plus d'une
minute ou deux sans virer en rond et retourner là-bas d'où on est
parti. Des ma petite maison en "Haut de la Colline" il n'y a pas un
coin dans toute l'île où je ne pourrais y aller à pied en vingt
minutes, et comment Entrée est une grande pairie, n'interrompue que
par un pair de taches de sapins giflés, et par l'occasionnel sortie
d'un bout de roche de dessous de la terre, les yeux peuvent parcourir
librement. Debout sur le haut de la "Grande Colline" il est possible
de embrasser l'Île entière avec un tour de la tête et un long regard,
et quand je contemple le paysage a travers des fenêtres irrésistibles
de cette petite maison, je peu voir l'océan en trois directions. En
faite, je crois que chez Mickey, sur la Rue de l'Ecole, c'est la seule
maison dans toute l'île que n'offre pas une vision spectaculaire de
l'océan.

Les visiteurs au sac à dos et des cameras arrivent ici en milliers
chaque été. Ils débarquent à la rade et font leur chemin dans un
courant - comme allant sur un convoyeur à bande - à travers d'île, et
puis montant les presque six cents pied vers le haut de la Grande
Colline, la plus haute élévation de l'archipel, où il y a un point de
vu il avec une complète vision à 360 grades du Golfe. Tant q'ils
descendent, et font leur chemin de retour vers la rade soignée, c'est
évident - même des ma fenêtre - que quelques uns ont restés enchantés,
puisqu'ils descendent comme Moïses du Sinaï, avec les visages qui
brillent. Quelques peu restent pour la nuit, étant pour moi un grand
allègement, car il y à une nourrissante quiétude de fin du jour en
Entrée qui se pose doucement sur l'île entière en bénédiction
pacifique, n'interrompue que par l'occasionnel son d'un engin, ou un
chien qui aboie. Puis, le soir, une fois que le soleil s'est enterré
dans océan au delà des dunes du Cap aux Meules, les lumières des
autres Îles Madeleines procurent un cadre éclatant à ma vision - un
collier de lumière sur le cou de l'obscurité.

L'Île d'Entrée est une des grandes découvertes de ma vie. Je suis venu
ici pour écrire, dans un endroit avec peu des distractions, mais je
n'anticipais pas la beauté attirante du lieu, ou que j'aurait être
tenté de passer autant de temps en me promenant d'un coté de colline
aux suivant, comme un ruminant cherchant l'aliment. Il n'y a pas un
coin de cet extravagant petit endroit que je n'aie pas exploré, ni un
jour que je ne m'aie pas aventuré plus loin avec mon bâton à marcher,
pour prendre plaisir, encore et encore, des longues, détendues vues du
bord du ciel à travers de l'eau; ou du ton parfait des tout-petits
clochettes, qui sonnent sans son dans les longues herbes; ou des
papillons orange brûlé qui sautent soudainement dans le vent jouant,
et paraient, comme les gens, q'ils tous doivent partir, sûrement, en
volant.

Beaucoup des gents qui restent en Entrée jurent q'ils ne partiront
jamais, mais en récents années beaucoup l'on fait, et la grande,
muette tristesse de l'endroit c'est le gros nombre de ceux q'on allait
alliers et qui ne sont jamais retournés que pour y visiter. Les
résidents, tous anglophones, la plupart descendants d'anglais et
d'écossais, ont était ici depuis le début du dix neuvième siècle, et
ceux qui ont vécu les vieux temps dans l'île se souvient de quand ils
étaient plus de 300, et que l'école était pleine d'étudiants, mais
aujourd'hui le nombre de résidents permanents a descendu jusqu'a moins
de 100, et la plupart des sièges à école sont vacant. Quand je suis en
Entrée je célèbre avec les résidents la beauté tellement peu commun de
leur pays, mais il y a une vulnérabilité à leur expérience que je ne
peut pas partager. Ils se sont attachés fortement à leur tout-petit
patrie pour presque deux cents années, mais maintenant, ils se
évanouissent.

Ça se sent presque inadéquat de louer aussi effusivement un endroit où
leurs résidents humains sont en lutte pour survivre, mais louer c'est
ce que je dois faire, car j'ai témoigné ici beaucoup de choses trop
merveilleuses que je garde pour moi : les ombres des nuages, en se
mouvant lentement à travers du coteau de la Colline Cerise, comme un
esprit aimant qui vient rencontrer son amoureuse; les pélicans au
soir, pendus dans l'air sur le récif ouest, puis se laissant tomber
comme des désires dans le soleil liquide; ou des groups de courlieus
disturbés qui descendent en criant vers une des petits vallée, puis
s'effacent entièrement dans le herbeux coté de la colline; ou les
timides et adorables fleurs de lys, se balançant gentiment entre les
long joncs dans leurs écharpes pourpre; ou les entretiens d'adieu des
petits pierres du rivage qui claquent comme des bijoux, tandis que les
vagues usées retournent en glissant vers la mer de fer; ou la chute du
ruisseau Kitty où, d'après la légende, un homme est arrivé avec ça
fille malade, et puis il l'enterrât là-bas, parce que c'était
tellement agréable, et un lieu qu'il savait qu'elle l'aurait aimé.
Tout ça, et encore plus, a était une distraction et une consommation.

Les caps d'Entrée, de alabastre et grés, ils sont hauts et escarpés,
tombant dans certains endroits plus de 125 pieds droitement dans la
mer bougeant. En fort contraste, les colline sont arrondisses et
sensuels, et moi je vois partout des épaules et des mollet, et les
bustes et les cuisses des déesses qui sont venues ici pour dormir en
bas de une épaisse, verte couette, tendue attentivement à travers du
paysage entier. Les plus hautes élévations sont du coté est de l'île,
où le bétail et quelques chevaux déambulent librement tout l'été en
pâture commun. Souvent ils montent jusqu'au sommet des collines les
plus hautes, et la vue de leurs profile contre le ciel immaculé, c'est
quelque chose que je n'oublierais jamais. Il n'y a aucune raison
pratique que je connaisse pour qu'ils doivent monter là haut si
souvent, et l'herbe est plus abondante florissant dans les prairies
plus basses, mais ils y vont, tous les jours, et souvent ils restent
pour des heures à cette place, leurs yeux fixés à travers de l'eau.
Beaucoup des tems j'ai monté les collines, rien que pour y être avec
eux, et bien si des fois je les vois comme à des sentinelles, plus
souvent je choisis de les voir comme contemplatives.

Presque toute la surface de Entrés est couverte avec des herbes
sauvages et des trèfles, mélangés avec des fleurs sauvages, et des
fraises sauvages, inclue l'abondante herbe doux - ou herbe Indienne
comme l'appèlent les gents du pays - n'interrompu que par des taches
de patates sur le sol du vallée, et des colonies de joncs qui ont
réclamés les trous humides. Une petit population de renards déambules
derrière de l'île, et se nourrissent largement des souris résidents,
mais il n'y as pas d'autres animaux ou reptiles - pas de serpents, pas
de lapins, pas de mouffettes - et très peu des moustiques ou mouches
noires. Quand vous venez à Entrée vous pouvez laisser votre répulsif
chez vous. Honnêtement ! Les bestioles mordantes à l'île du Prince
Edouard me considèrent repas choisi, tandis que je me suis promené ici
trois étés en shorts et en manche, et j'ai souvent récoltait des
fraises sauvages jusqu'au crépuscule, sans être savourait qu'une fois
pour une créature volante.

La première semaine que je suis arrivé ici j'ai demandé à Wall, mon
voisin le plus proche, comment avait-elle gagné son nom, Entrée. Il
m'a informé que était à cause de son emplacement, à l'entrée des
autres Îles Madeleines, mais après avoir vécu ici pour trois étés, le
nom est venu signifier quelque chose de plus pour moi. Je suis venu
ici pour écrire sur l'importance de ce que, dans ma vie, j'appelle
portaux, qui sont des expériences d'entrée dans des différent mondes
de compréhension, où la vie n'est pas enfermé par la sagesse
conventionnel, ou la peur de faillir, et un jour c'est levé sur moi -
comme le soleil montant sur la Colline Wash Pond - comment était
merveilleusement approprié que j'aille choisi en endroit appelé Entré,
où j'ai découvert autant ouvertures la joie, et le doux oublie.
J'avait écrit des années avant que j'arrive en Entrée que l'attirance
universel des îles - particulièrement les petits îles - c'est qu'elle
reflètent les parties à nous que l'on répriment et que l'on cassent,
et que, consciemment ou inconsciemment, nous y allons dans l'espoir
d'y retrouver l'enchantement et l'exubérance dont on a perdu dans nos
vies. Avant Entrée tout ça était largement théorique. Pas maintenant.

Dans la mythologie on rêvait beaucoup avec les anciennes "Îles
Bénites", et normalement en relation avec la vie après de la morte,
mais celle-la n'est pas mon expérience ici. Ici, tant mes espoirs pour
ce que viendra que mes regrets pour les ennuis du passé,
s'évanouissent, et le pressent s'ouvre comme une poitrine. Comment
pourrait ça être autrement dans un endroit où les plages et les
chemins son jonchés avec des bijoux; où les paquets de "devoir" et
"devoir pas" s'en vont en criant dans la vallée pour disparaître entre
l'herbe; où des oiseaux marin chantent tout le jour les chansons des
immortelles; et où le bétail sacré reste en contentement sur les
collines éternelles.

Juillet 17, 2006
Comments  
Subject: Re: Entry Island- Please translate
From: tamzo22-ga on 17 Oct 2006 08:13 PDT
 
Entrée 

Pendant les années j'enseignais l'histoire à l'université d'île Prince
Edouard que j'ai découvert que chaque nouvelle classe est arrivée avec
des surprises, et un an, au milieu des années 80, une femme entre deux
âges inscrite dans un cours d'été j'offrais et ai changé ma vie. Elle
a pris un à long terme pour que son influence se manifeste, mais ce
qui est hors de controverse est que mon expérience aujourd'hui serait
très différente si elle n'avait pas révélé. Curieusement, il n'était
pas qui elle était qu'eu un tel effet sur moi, ou quelque chose
qu'elle a dit ; il était en raison d'où elle est venue - d'un endroit
qui était complètement inconnu à moi alors. J'avais jamais même
entendu parler de lui, mais quand elle l'a décrit j'ai été fasciné, et
résolu que d'une journée j'irais là. Et j'ai. La femme, Josey olive,
est depuis morte, et vingt ans ont passé puisque nous d'abord réuni,
mais car moi écrivons ces mots que je suis sur l'île d'entrée, assis
dans la maison même dans laquelle elle a par le passé vécu, et celui
aujourd'hui est possédé par son fils. Cet endroit, une fois que peu
familier, est maintenant une tache que je connais intimement, et
l'amour chèrement, la manière le soleil aime la lune, parce que j'ai
découvert ici beaucoup de réflexions de qui je suis.

L'île d'entrée est un paysage minuscule et brusque au milieu du Golfe
de la rue Lawrence qui pousse vers le haut hors de l'océan comme le
visage d'un joint, et est à la différence de n'importe quel autre
endroit que j'ai jamais vu, bien qu'il me rappelle le terrain dans les
régions de l'Ecosse et de l'Irlande. C'est compagnon aux autres îles
de Madeleine, mais elles toutes sont ficelées ensemble sur une corde
du sable. Pas aussi entrée. Même la longue extension du crochet
arénacé, un bras suppliant qui s'étend dehors de l'île la plus proche
de Le Havre Aubert, n'a pas encore été assez pour l'attirer de son
separateness aimé. C'est si petit et distant, et tellement implausibly
beau, que quand je suis arrivé la première fois c'a semblé pas un
endroit du tout, mais la révélation de quelque chose aspiré à, et,
d'un soudain, découvert. C'est la troisième année où j'ai summered
ici, et je deviens tous les ans davantage m'ai convaincu ai de façon
ou d'autre lavé à terre sur une « des îles bénies » dont sont parlés
tellement wistfully dans les histoires de mon celtique s'abstient.

Comme chacun autrement je décris souvent ma maison, île Prince
Edouard, comme petit endroit, mais comparé à l'entrée qu'il est
continental. Il y a une route étroite ici, couvert de cliquer le
gravier qui commence au quai et aux wends sa voie par les champs
peints au centre de l'île, à un faisceau des maisons et des annexes
aux lesquelles les gens du pays se réfèrent comme « vers le haut de la
route », avec des côté-routes menant aux faisceaux semblables et
petits appelés « dehors la route, » « en bas de la route, » et «
arrière sur la colline, » et au « point de mouette, » la plus basse et
la plus plate partie de l'île, qui saillir dehors dans les vagues
comme l'arc d'un navire, transportée en rond dans un sou-wester de
sautillement. Presque chaque famille a un véhicule ou deux, quoiqu'il
soit impossible à conduire pour plus qu'une minute ou deux sans
rotation autour de et de titre dos d'où vous êtes venus. De ma petite
maison dans « vers le haut de la colline » il n'y a aucune tache sur
l'île entière que je ne pourrais pas atteindre à pied en vingt
minutes, et parce que l'entrée est un grand pré, interrompu seulement
par un couple des pièces rapportées des sapins secoués, et affleurer
occasionnel de la roche posée, les yeux peut s'étendre librement. Se
tenant sur le dessus de la « grande colline que » il est possible de
rentrer l'île entière avec un tour de la tête et d'un regard rapide,
et quand je regarde dehors les fenêtres irrésistibles de cette petite
maison je peut voir l'océan dans trois directions. En effet, je crois
la maison de Mickey, sur la route d'école, est la seule maison sur
l'île entière qui n'offre pas une vue spectaculaire d'océan.

Les visiteurs avec des baluchons et des appareils-photo arrivent ici
par les milliers chaque été. Ils débarquent au quai et font leur
manière dans un jet -- comme si montant une bande de conveyeur -- à
travers l'île, et puis vers le haut des presque six cents pieds
jusqu'au dessus de la grande colline, l'altitude la plus élevée dans
l'archipel, duquel la position avantageuse il y a de plein 360 degrés
Vista du Golfe. Car ils descendent, et wend leur dos de manière vers
le port rangé, il est évident -- même de ma fenêtre -- que certains
sont devenus enchantés, parce que ils descendre comme Moïse de Sinai,
avec leur briller de visages. Peu de séjour pour la nuit, qui est à
moi un grand soulagement, parce que là est une consolidation, calme
d'extrémité-de-jour sur l'entrée qui arrange doucement au-dessus de
l'île entière dans la bénédiction paisible, cassée seulement par le
bruit occasionnel d'un moteur, ou d'un écorcement de chien. Puis, la
nuit, après que le soleil se soit enterré dans l'océan derrière les
dunes du chapeau Meules aux., les lumières des autres îles de
Madeleine fournissent une jante de scintillement à ma vision -- un
collier de lumière sur la gorge de l'obscurité.

L'île d'entrée est l'une des grandes découvertes de ma vie. Je suis
venu ici pour écrire, dans un endroit avec peu de distractions, mais
ne prévoyais pas la beauté de séduction de l'endroit, ou cela je
serais tenté pour passer tellement le temps marchant à pas marqués
d'un flanc de coteau au prochain, comme un certain ruminant de
forager, frôlant l'amabilité. Il n'y a aucun coin de cet endroit
exagéré et petit que je ne l'ai pas exploré, et aucun jour je n'ai pas
essayé en avant avec mon bâton de marche d'être pleasured, à plusieurs
reprises, par de longues, à vide vues à travers l'eau au bord du ciel
; ou par le lancement parfait des bleu-cloches minuscules, cet anneau
sans bruit dans la longue herbe ; ou les papillons brûler-oranges qui
prennent naissance soudainement dans le vent espiègle, et semblent,
comme le peuple, qu'ils doivent tout sûrement souffler loin.

Plusieurs du peuple qui restent allumés voeu d'entrée qu'elles ne
laisseront jamais, mais ces dernières années beaucoup ont, et la
grande, muette tristesse de l'endroit est le grand nombre ceux qui
sont partis et ne sont jamais retournés, excepté peut-être à la
visite. Les résidants, tous Anglophones de descente la plupart du
temps anglaise et écossaise, ont été ici depuis le 1800s tôt, et les
vieux-temporisateurs sur l'île peuvent rappeler quand il y avait plus
de de 300 d'entre eux, et l'école éclatait avec des pupilles, mais
aujourd'hui le nombre de résidants toutes saisons est descendu à 100
au-dessous de, et la plupart des sièges dans l'école sont vides. Quand
je suis sur l'entrée moi se réjouir avec les résidants au-dessus de la
beauté rare de leur maison, mais il y a une vulnérabilité dans leur
expérience que je pas, et ne peut pas partager. Ils se sont tenus
dessus étroitement sur leur patrie minuscule et dramatique pendant
presque deux cents années, mais maintenant ils disparaissent.

Il se sent presque impropre féliciter tellement expansivement un
endroit où les résidants humains luttent pour survivre, mais pour le
féliciter que je dois, parce que beaucoup de choses j'ai étées témoin
ici sont trop merveilleuses pour garder à me : comme la nuage-ombre,
se déplacer lentement à travers la pente du sud de la colline de
cerise, comme un amoureux d'esprit venant au-dessus de elle betrothed
; ou gannets de soirée, accrochant dans le ciel au-dessus du récif
occidental, se laissant tomber alors comme des souhaits dans le soleil
liquide ; ou les bandes dérangées de courlis cendrés bruns qui vont
hurler en bas d'une des petites vallées, disparaissent alors
entièrement dans un flanc de coteau herbeux ; ou fleurs de lis timide
et beau, balançant doucement parmi les longues précipitations dans des
leurs écharpes pourpres ; ou le broutement d'adieu des cailloux de
rivage qui claquent comme des bijoux pendant que les vagues épuisées
glissent de nouveau dans la mer de fer ; ou la dégringolade du
ruisseau de Kitty, où, selon la légende, un homme est venu à terre
avec une fille mal portante, et où il l'a enterrée, parce qu'il était
si plaisant, et un endroit qu'il a connu qu'elle aurait a aimé. Tout
ce, et plus, a été une distraction, et une consommation.

Les caps d'albâtre et de grès de l'entrée sont grands et fins,
laissant tomber dans les endroits plus de 125 pieds de bas droit dans
l'océan se précipitant. Les collines, dans le contraste important,
sont arrondies et sensuelles, et je vois partout les épaules géantes
et mets bas, et les seins et les cuisses des déesses qui sont venues
ici pour dormir sous une couverture épaisse et verte, tirés avec le
soin à travers le paysage entier. Les plus grands des monticules sont
du côté oriental de l'île, où les bétail et quelques chevaux errent
librement tout l'été dans le pâturage commun. Ils s'élèvent souvent
jusqu'aux dessus mêmes des plus hautes collines, et la vue de elles,
dans le profil contre le ciel frotté, est quelque chose que je
n'oublierai jamais. Il y a, dans la mesure où je peux déterminer,
aucune raison pratique pour laquelle elles devraient monter là
tellement souvent, car l'herbe est plus abondante et abondante dans
les prés inférieurs, mais aller elles, journalier, et souvent
configuration pendant des heures dans un endroit, regardant fixement
dehors à travers l'eau. Beaucoup me chronomètrent ont escaladé les
collines, pour être juste avec elles, et tandis que je les vois
parfois comme sentinelles, plus souvent je choisissent de les regarder
comme contemplatives.

Presque la surface entière de l'entrée est couverte d'herbes sauvages
et de trèfles, mélangés ainsi que des wildflowers, et de baies
sauvages, y compris une abondance de doux-herbe aromatique - ou herbe
indienne comme les résidants l'appellent - interrompue seulement par
l'effet de chinage de petites pièces rapportées des pommes de terre
sur les planchers de vallée, et des colonies des bullrushes qui ont
réclamé les cavités humides. Une petite population des renards erre le
derrière de l'île, et alimentation en grande partie sur la population
résidente de souris, mais il n'y a aucun autre animal ou reptile
sauvage - aucuns serpents, lapins, ou mouffettes - et à peine aucuns
moustiques ou mouche de noir. Quand vous venez à l'entrée vous pouvez
laisser votre produit répulsif à la maison. Honnêtement ! Les bogues
acérés d'île Prince Edouard me considèrent prix bien choisi, pourtant
j'ai erré ici pendant trois étés dans le pantalon et des douilles
courts, et ai souvent sélectionné les fraisiers communs jusqu'au
crépuscule dans la longue herbe, mais ai été goûté seulement une fois
par une créature de vol.

La première semaine où je suis arrivée ici j'a demandé le mur, mon
voisin plus proche, comment l'entrée a obtenu son nom. Il m'a informé
que qu'elle était en raison de son endroit, à l'entrée aux autres îles
de Madeleine, mais ensuite après avoir vécu ici pendant trois étés, le
nom pour moi est venu pour signifier quelque chose davantage. Je suis
venu ici pour écrire au sujet de l'importance dans ma vie de ce que
j'appelle les portails, qui sont des expériences de l'entrée à un
monde différent de conscience, où la vie n'est pas ourlée dedans par
la sagesse conventionnelle, ou de la crainte de l'échec, et d'un jour
où elle a né sur moi -- comme le soleil montant au-dessus de la
colline d'étang de lavage -- comment merveilleusement approprié
c'était que j'avais choisi une entrée appelée d'endroit, où j'ai
découvert tant d'ouvertures à la joie, et manque de mémoire doux.
J'avais écrit des années avant que je sois arrivé sur l'entrée cette
l'attrait universel des îles -- en particulier petites îles -- est ce
qu'elles reflètent réprimée et dédoublent-au loin des parties de
nous-mêmes, et cela, consciemment ou unconsciously, nous allons
espérer là contacter le sortilège et l'exubérance qui a manquer allé
en nos vies. Avant l'entrée qui était toute en grande partie
théorique. Mais plus.

En mythologie des ancients « les îles bénies » ont été beaucoup rêvées
de, et habituellement associées à la vie après la mort, mais ce n'est
pas mon expérience ici. Ici, mon espoir pour ce qui est de venir, avec
tout le regret pour blundering cela a été, se fane loin, et le présent
s'ouvrent comme un coffre. Comment pourrait il ne pas être ainsi dans
un endroit où les plages et les chaussées sont répandues avec des
gemmes ; là où les bandes de nécessités de `' et le `doivent-nots'
aller hurler en bas d'une vallée et disparaître dans le long
engazonner ; là où les oiseaux de rivage chantent toute la journée les
chansons des immortals ; et où les bétail saints se reposent dans le
contentement sur les collines éternelles.
17/6 juillet
Subject: Re: Entry Island- Please translate
From: tamzo22-ga on 17 Oct 2006 12:42 PDT
 
With all due respect Guillermo, my uncle is a native French speaker-
he moved from South Africa to Marseille 20 years ago..I asked him to
help me translate it very quickly..hence the mistakes.
Subject: Re: Entry Island- Please translate
From: guillermo-ga on 18 Oct 2006 08:34 PDT
 
Hello tamzo22-ga,

Certainly, the mistakes may very well be due to a too fast work. What
made me think of an automated translation were sentences like this
one, as an example:

"La femme, Josey olive, est depuis morte, et vingt ans ont passé
puisque nous d'abord réuni, mais car moi écrivons ces mots que je suis
sur l'île d'entrée, assis dans la maison même dans laquelle elle a par
le passé vécu, et celui aujourd'hui est possédé par son fils."

(Original is: "The woman, Olive Josey, has since died, and twenty
years have passed since we first met, but as I write these words I am
on Entry Island, seated in the very house in which she once lived, and
that today is owned by her son.")

The name, Olive Josey, has been reversed -- and the word "olive"
written in lower case -- as if it was taken as an adjective referring
to Josey (olive as a color). "Since" is translated as "puisque", what
would be OK if it was the causal sense of since, but here the sense is
temporal, so it is incorrect -- an adequate translation would have
been "depuis que". The phrase "as I write" has the sense of "while I
write", so the word "car" has no place in a translation for "as" here
-- it should have been "pendant que". Also, the person who writes is
the narrator -- first person singular -- but the verb is in first
person plural (écrivons) as if it referred to the previous "nous"
(we), and the pronoun "moi" should be "je", that altogether with the
verb should be "j'ecris" (I write). French speakers would not say that
they are "sure l'ile" but "dans l'ile". The word "maison" (house) is
feminine in French, and "celui" (referring to "maison") is masculine.

In brief, my choice for the same sentence would be:

"La femme, Olive Josey, est déjà morte, et vingt ans se sont passés
depuis que nous nous avion rencontré pour la première fois, mais
pendant que j'écris ces mots-là je suis dans l'île d'Entrée, assis dan
la maison même ou elle avait vécu, et que maintenant appartienne a son
fils."

As a matter of fact, the whole text is plenty of sentences like the
one I used as an example.

Also, many words were just left in their original English form --
since automated translators do so when they don't find the words in
their dictionary, that led me to that assumption too -- for example:
separateness, implausibly, summered, wistfully, among others.

So, IMHO, the translation you posted would work for a French speaking
person just to figure out how the original English text would be,
approximately -- but it wouldn't work as an actual translation if that
is Brudenell's intention.

Sincerely,

Guillermo
Subject: Re: Entry Island- Please translate
From: caribe97-ga on 18 Oct 2006 23:29 PDT
 
tell me if you need help, i'm french
Subject: Re: Entry Island- Please translate
From: theboufin-ga on 22 Oct 2006 13:57 PDT
 
Entrée Pendant les années j'enseignais l'histoire à l'université d'île
Prince Edouard que j'ai découvert que chaque nouvelle classe est
arrivée avec des surprises, et un an, au milieu des années 80, une
femme entre deux âges inscrite dans un cours d'été j'offrais et ai
changé ma vie. Elle a pris un à long terme pour que son influence se
manifeste, mais ce qui est hors de controverse est que mon expérience
aujourd'hui serait très différente si elle n'avait pas révélé.
Curieusement, il n'était pas qui elle était qu'eu un tel effet sur
moi, ou quelque chose qu'elle a dit ; il était en raison d'où elle est
venue - d'un endroit qui était complètement inconnu à moi alors.
J'avais jamais même entendu parler de lui, mais quand elle l'a décrit
j'ai été fasciné, et résolu que d'une journée j'irais là. Et j'ai. La
femme, Josey olive, est depuis morte, et vingt ans ont passé depuis
que nous nous sommes réunis la première fois, mais comme j'écris ces
mots que je suis sur l'île d'entrée, assis dans la maison même dans
laquelle elle a par le passé vécu, et celle aujourd'hui est possédé
par son fils. Cet endroit, une fois que peu familier, est maintenant
une tache que je connais intimement, et l'amour chèrement, la manière
le soleil aime la lune, parce que j'ai découvert ici beaucoup de
réflexions de qui je suis. L'île d'entrée est un paysage minuscule et
brusque au milieu du Golfe de la rue Lawrence qui pousse vers le haut
hors de l'océan comme le visage d'un joint, et est à la différence de
n'importe quel autre endroit que j'ai jamais vu, bien qu'il me
rappelle le terrain dans les régions de l'Ecosse et de l'Irlande.
C'est compagnon aux autres îles de Madeleine, mais elles toutes sont
ficelées ensemble sur une corde du sable. Pas aussi entrée. Même la
longue extension du crochet arénacé, un bras suppliant qui s'étend
dehors de l'île la plus proche de Le Havre Aubert, n'a pas encore été
assez pour l'attirer de son separateness aimé. Elle est si petite et
distante, et tellement implausibly belle, que quand je suis arrivé la
première fois c'ait semblé pas un endroit du tout, mais la révélation
de quelque chose a aspiré à, et, d'un soudain, a découvert. C'est la
troisième année où j'ai summered ici, et je deviens tous les ans
davantage m'ai convaincu ai de façon ou d'autre lavé à terre sur une «
des îles bénies » dont sont parlés tellement wistfully dans les
histoires de mon celtique s'abstient. Comme chacun autrement je décris
souvent ma maison, île Prince Edouard, comme petit endroit, mais
comparé à l'entrée qu'il est continental. Il y a une route étroite
ici, couvert de cliquer le gravier qui commence au quai et aux wends
sa voie par les champs peints au centre de l'île, à un faisceau des
maisons et des annexes aux lesquelles les gens du pays se réfèrent
comme « vers le haut de la route », avec des côté-routes menant aux
faisceaux semblables et petits appelés « dehors la route, » « en bas
de la route, » et « arrière sur la colline, » et au « point de
mouette, » la plus basse et la plus plate partie de l'île, qui saillir
dehors dans les vagues comme l'arc d'un navire, transportée en rond
dans un sou-wester de sautillement. Presque chaque famille a un
véhicule ou deux, quoiqu'il soit impossible à conduire pour plus
qu'une minute ou deux sans tourner autour et se diriger en arrière
d'où vous êtes venus. De ma petite maison dans « vers le haut de la
colline » il n'y a aucune tache sur l'île entière que je ne pourrais
pas atteindre à pied en vingt minutes, et parce que l'entrée est un
grand pré, interrompu seulement par un couple des pièces rapportées
des sapins secoués, et affleurer occasionnel de la roche posée, les
yeux peut s'étendre librement. Se tenant sur le dessus de la « grande
colline que » il est possible de rentrer l'île entière avec un tour de
la tête et d'un regard rapide, et quand je regarde dehors les fenêtres
irrésistibles de cette petite maison je peut voir l'océan dans trois
directions. En effet, je crois la maison de Mickey, sur la route
d'école, est la seule maison sur l'île entière qui n'offre pas une vue
spectaculaire d'océan. Les visiteurs avec des baluchons et des
appareils-photo arrivent ici par les milliers chaque été. Ils
débarquent au quai et font leur manière dans un jet -- comme si
montant une bande de conveyeur -- à travers l'île, et puis vers le
haut des presque six cents pieds jusqu'au dessus de la grande colline,
l'altitude la plus élevée dans l'archipel, duquel la position
avantageuse il y a de plein 360 degrés Vista du Golfe. Car ils
descendent, et wend leur dos de manière vers le port rangé, il est
évident -- même de ma fenêtre -- que certains sont devenus enchantés,
parce que ils descendre comme Moïse de Sinai, avec leur briller de
visages. Peu de séjour pour la nuit, qui est à moi un grand
soulagement, parce que là est une consolidation, calme
d'extrémité-de-jour sur l'entrée qui arrange doucement au-dessus de
l'île entière dans la bénédiction paisible, cassée seulement par le
bruit occasionnel d'un moteur, ou d'un écorcement de chien. Puis, la
nuit, après que le soleil se soit enterré dans l'océan derrière les
dunes du chapeau Meules aux., les lumières des autres îles de
Madeleine fournissent une jante de scintillement à ma vision -- un
collier de lumière sur la gorge de l'obscurité. L'île d'entrée est
l'une des grandes découvertes de ma vie. Je suis venu ici pour écrire,
dans un endroit avec peu de distractions, mais ne prévoyais pas la
beauté de séduction de l'endroit, ou cela je serais tenté pour passer
tellement le temps marchant à pas marqués d'un flanc de coteau au
prochain, comme un certain ruminant de forager, frôlant l'amabilité.
Il n'y a aucun coin de cet endroit exagéré et petit que je ne l'ai pas
exploré, et aucun jour je n'ai pas essayé en avant avec mon bâton de
marche d'être pleasured, à plusieurs reprises, par de longues, à vide
vues à travers l'eau au bord du ciel ; ou par le lancement parfait des
bleu-cloches minuscules, cet anneau sans bruit dans la longue herbe ;
ou les papillons brûler-oranges qui prennent naissance soudainement
dans le vent espiègle, et semblent, comme le peuple, qu'ils doivent
tout sûrement souffler loin. Plusieurs du peuple qui restent allumés
voeu d'entrée qu'elles ne laisseront jamais, mais ces dernières années
beaucoup ont, et la grande, muette tristesse de l'endroit est le grand
nombre ceux qui sont partis et ne sont jamais retournés, excepté
peut-être à la visite. Les résidants, tous Anglophones de descente la
plupart du temps anglaise et écossaise, ont été ici depuis le 1800s
tôt, et les vieux-temporisateurs sur l'île peuvent rappeler quand il y
avait plus de de 300 d'entre eux, et l'école éclatait avec des
pupilles, mais aujourd'hui le nombre de résidants toutes saisons est
descendu à 100 au-dessous de, et la plupart des sièges dans l'école
sont vides. Quand je suis sur l'entrée moi se réjouir avec les
résidants au-dessus de la beauté rare de leur maison, mais il y a une
vulnérabilité dans leur expérience que je pas, et ne peut pas
partager. Ils se sont tenus dessus étroitement sur leur patrie
minuscule et dramatique pendant presque deux cents années, mais
maintenant ils disparaissent. Elle se sent presque impropre féliciter
tellement expansivement un endroit où les résidants humains luttent
pour survivre, mais pour le féliciter que je dois, parce que beaucoup
de choses j'ai étées témoin ici sont trop merveilleuses pour garder à
me : comme la nuage-ombre, se déplacer lentement à travers la pente du
sud de la colline de cerise, comme un amoureux d'esprit venant
au-dessus de elle betrothed ; ou gannets de soirée, accrochant dans le
ciel au-dessus du récif occidental, se laissant tomber alors comme des
souhaits dans le soleil liquide ; ou les bandes dérangées de courlis
cendrés bruns qui vont hurler en bas d'une des petites vallées,
disparaissent alors entièrement dans un flanc de coteau herbeux ; ou
fleurs de lis timide et beau, balançant doucement parmi les longues
précipitations dans des leurs écharpes pourpres ; ou le broutement
d'adieu des cailloux de rivage qui claquent comme des bijoux pendant
que les vagues épuisées glissent de nouveau dans la mer de fer ; ou la
dégringolade du ruisseau de Kitty, où, selon la légende, un homme est
venu à terre avec une fille mal portante, et où il l'a enterrée, parce
qu'il était si plaisant, et un endroit qu'il a connu qu'elle aurait a
aimé. Tout ce, et plus, a été une distraction, et une consommation.
Les caps d'albâtre et de grès de l'entrée sont grands et fins,
laissant tomber dans les endroits plus de 125 pieds de bas droit dans
l'océan se précipitant. Les collines, dans le contraste important,
sont arrondies et sensuelles, et je vois partout les épaules géantes
et mets bas, et les seins et les cuisses des déesses qui sont venues
ici pour dormir sous une couverture épaisse et verte, tirés avec le
soin à travers le paysage entier. Les plus grands des monticules sont
du côté oriental de l'île, où les bétail et quelques chevaux errent
librement tout l'été dans le pâturage commun. Ils s'élèvent souvent
jusqu'aux dessus mêmes des plus hautes collines, et la vue de elles,
dans le profil contre le ciel frotté, est quelque chose que je
n'oublierai jamais. Il y a, dans la mesure où je peux déterminer,
aucune raison pratique pour laquelle elles devraient monter là
tellement souvent, car l'herbe est plus abondante et abondante dans
les prés inférieurs, mais aller elles, journalier, et souvent
configuration pendant des heures dans un endroit, regardant fixement
dehors à travers l'eau. Beaucoup me chronomètrent ont escaladé les
collines, pour être juste avec elles, et tandis que je les vois
parfois comme sentinelles, plus souvent je choisissent de les regarder
comme contemplatives. Presque la surface entière de l'entrée est
couverte d'herbes sauvages et de trèfles, mélangés ainsi que des
wildflowers, et de baies sauvages, y compris une abondance de
doux-herbe aromatique - ou herbe indienne comme les résidants
l'appellent - interrompue seulement par l'effet de chinage de petites
pièces rapportées des pommes de terre sur les planchers de vallée, et
des colonies des bullrushes qui ont réclamé les cavités humides. Une
petite population des renards erre le derrière de l'île, et
alimentation en grande partie sur la population résidente de souris,
mais il n'y a aucun autre animal ou reptile sauvage - aucuns serpents,
lapins, ou mouffettes - et à peine aucuns moustiques ou mouche de
noir. Quand vous venez à l'entrée vous pouvez laisser votre produit
répulsif à la maison. Honnêtement ! Les bogues acérés d'île Prince
Edouard me considèrent prix bien choisi, pourtant j'ai erré ici
pendant trois étés dans le pantalon et des douilles courts, et ai
souvent sélectionné les fraisiers communs jusqu'au crépuscule dans la
longue herbe, mais ai été goûté seulement une fois par une créature de
vol. La première semaine où je suis arrivée ici j'a demandé le mur,
mon voisin plus proche, comment l'entrée a obtenu son nom. Il m'a
informé que qu'elle était en raison de son endroit, à l'entrée aux
autres îles de Madeleine, mais ensuite après avoir vécu ici pendant
trois étés, le nom pour moi est venu pour signifier quelque chose
davantage. Je suis venu ici pour écrire au sujet de l'importance dans
ma vie de ce que j'appelle les portails, qui sont des expériences de
l'entrée à un monde différent de conscience, où la vie n'est pas
ourlée dedans par la sagesse conventionnelle, ou de la crainte de
l'échec, et d'un jour où elle a né sur moi -- comme le soleil montant
au-dessus de la colline d'étang de lavage -- comment merveilleusement
approprié c'était que j'avais choisi une entrée appelée d'endroit, où
j'ai découvert tant d'ouvertures à la joie, et manque de mémoire doux.
J'avais écrit des années avant que je sois arrivé sur l'entrée cette
l'attrait universel des îles -- en particulier petites îles -- est ce
qu'elles reflètent réprimée et dédoublent-au loin des parties de
nous-mêmes, et cela, consciemment ou unconsciously, nous allons
espérer là contacter le sortilège et l'exubérance qui a manquer allé
en nos vies. Avant l'entrée qui était toute en grande partie
théorique. Mais plus. En mythologie des ancients « les îles bénies »
ont été beaucoup rêvées de, et habituellement associées à la vie après
la mort, mais ce n'est pas mon expérience ici. Ici, mon espoir pour ce
qui est de venir, avec tout le regret pour blundering cela a été, se
fane loin, et le présent s'ouvrent comme un coffre. Comment pourrait
il ne pas être ainsi dans un endroit où les plages et les chaussées
sont répandues avec des gemmes ; là où les bandes de nécessités de `'
et le `doivent-nots' aller hurler en bas d'une vallée et disparaître
dans le long engazonner ; là où les oiseaux de rivage chantent toute
la journée les chansons des immortals ; et où les bétail saints se
reposent dans le contentement sur les collines éternelles. July17/06

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